« La guerre, c’est lorsqu’on ne voit plus l’autre comme un frère, mais comme un ennemi », rappelle l’évêque de Fréjus-Toulon.
Pas un jour ne se passe sans qu’on nous parle des jeunes partis semer la terreur en Syrie ou en Irak. La guerre, c’est lorsqu’on ne voit plus l’autre comme un frère, mais comme un ennemi.
La célèbre prière de saint François d’Assise commence par ces mots : Seigneur, fais de moi un instrument de ta paix. Le Pape, à l’image de son saint patron, n’a pas ménagé ses efforts cette année pour la mettre en pratique. Après son invitation du mois de juin aux deux présidents, israélien et palestinien, beaucoup ont pourtant épilogué sur l’inutilité de telles démarches. S’il faut plus de courage pour faire la paix que pour continuer la guerre, seule une espérance inébranlable permet de toujours croire en la paix !
Ces hommes qui croient en la paix sont les prophètes d’aujourd’hui. Ils ont ce regard qui voit plus loin et habitent le présent en venant de l’avenir. Ils ont cette confiance enfantine que la paix est plus jeune que les guerres et divisions, qui ne font que vieillir le monde. Surtout ils savent que la paix a autant besoin d’artisans pour la construire que de mains tendues pour la recevoir. Lire la suite sur le site de l’Observatoire SocioPolitique du diocèse de Fréjus-Toulon