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Le démarrage encourageant de “Vaincre ou mourir” au cinéma

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Hugo Becker incarnant Charette dans "Vaincre ou mourir".

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Cécile Séveirac - publié le 02/02/23
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"Vaincre ou mourir", premier long métrage du Puy du Fou en salles depuis le 25 janvier, se défend au box-office de la semaine avec plus de 100.000 entrées depuis sa sortie, le 25 janvier. Un résultat encourageant compte tenu de la violence des critiques.

Le premier film produit par le Puy du Fou, Vaincre ou mourir, a débarqué sur le grand écran mercredi 25 janvier. Inspiré du spectacle "Le dernier panache" du parc d’attraction mondialement connu, il revient sur le combat de François-Athanase Charette de la Contrie, héros des guerres de Vendée. S’il a essuyé de virulentes critiques, il a néanmoins su séduire de nombreux spectateurs. En une semaine, le film a franchi le cap des 100.000 entrées, avec un nombre total de 107.762 au 1er février. Vaincre ou Mourir se classe ainsi 3e du box-office des démarrages de la semaine. Il sera à l’affiche dans 235 salles pour sa deuxième semaine de visionnage, ce qui représente une augmentation de 25% du nombre de salles de cinéma le diffusant. Sa note sur Allociné, site qui recense uniquement les avis des spectateurs et non de la presse, est de 3,9/5.

Une épopée autour de la figure de Charette

L’action se déroule en 1793, lorsque Charette, ancien officier de la Marine royale, et retiré chez lui, est poussé par les paysans de Vendée à prendre le commandement de la rébellion contre l’armée républicaine. En quelques mois, Charette, qui revit sous les traits de l’acteur Hugo Becker, s’impose comme un chef charismatique et un fin stratège à la tête d’une armée. Il devient général de l’Armée catholique et royale du Bas-Poitou, se battant farouchement jusqu’à sa capture et son exécution. Charette incarne ainsi "un personnage vecteur d’espoir, de détermination, de volonté, de passion, et évidemment de panache", comme l’avait déclaré Hugo Becker à Aleteia. Plus encore, le film "donne l’énergie de combattre pour une cause, quelle qu’elle soit. L’histoire en elle-même est aussi un prétexte pour le spectateur, l’occasion d’identifier ses propres combats."

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