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Sans elle, les Filles de la Charité n’auraient peut-être jamais vu le jour

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Marguerite Naseau.

Raphaëlle Coquebert - publié le 19/12/21
Sans Marguerite Naseau (1594-1633), jeune vachère de Suresnes (Hauts-de-Seine), les Filles de la Charité, œuvre commune des saints Vincent de Paul et Louise de Marillac, n’auraient peut-être pas vu le jour. Très attachés à sa figure, les chrétiens du diocèse de Nanterre se réjouissent de l’ouverture de son procès en canonisation.

Ceux qui prétendent que les femmes n’ont jamais tenu que des rôles de figurantes dans l’histoire de l’Église gagneraient à se pencher sur la vie de l’un de ses saints les plus populaires, Vincent de Paul (1581-1660). Sainte Louise de Marillac, première supérieure de la Compagnie des Filles de la Charité, est en effet loin d’avoir été la seule "influenceuse" de l’illustre apôtre de la charité. Parallèlement aux dames du monde d’alors, une humble paysanne, née aux portes de Paris sur une terre de vignobles, a orienté de manière décisive l’action du petit pâtre devenu aumônier de la reine. 

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