Alban, 37 ans, marié et père de deux enfants, n’a jamais vraiment poursuivi d’efforts particuliers pendant le Carême. Mais cette année, un ami de son groupe de prière lui a confié glisser un chapelet dans la poche de sa veste ou de son manteau, pour multiplier les occasions de prier. Depuis le début du Carême, Alban s’y tient et découvre la puissance du chapelet presque quotidien. "L’évolution de la guerre en Ukraine a contribué à intensifier ma prière", avoue-t-il. "Dès que j’ai un moment de libre, j’égraine mon chapelet. J’ai 30 minutes de transport matin et soir, c’est exactement la durée d’un chapelet. Avant, je lisais les infos dans le métro, maintenant, je prie, et je me sens finalement beaucoup plus utile en priant !" Et s’il oublie, le simple fait de glisser sa main dans sa poche et de sentir la présence du chapelet lui rappelle ses deux rendez-vous quotidiens avec le Seigneur.
Tout au long du Carême, Aleteia va à la rencontre de chrétiens qui ont choisi de donner une plus grande place au Seigneur dans leur quotidien. De beaux témoignages de foi, et des idées à la pelle pour préparer son cœur à la Résurrection du Christ.