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La guérison de Pauline Jaricot grâce à l’amour maternel

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Pauline-Marie Jaricot
Aliénor Goudet - publié le 08/01/22 - mis à jour le 16/05/22
À l’âge de 15 ans, Pauline Jaricot (1799-1862) fait une mauvaise chute. Affligée de séquelles tant physiques que psychologiques, elle semble avoir perdu goût à la vie. Mais la foi et l’amour familial, en particulier celui de sa mère, sont les meilleurs remèdes contre le mal qui la ronge.

Tassin, 1814. En une journée pluvieuse, Jeanne Jaricot lâche un énième soupir d’angoisse. Cela fait déjà un mois que Pauline, la cadette de ses enfants, est tombée de son escabeau. Depuis, la jeune adolescente n’est plus la même.

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