separateurCreated with Sketch.

“Seigneur, cette année, fais que mon conjoint se convertisse”

Yellow Title Icon
Article Premium - Connectez-vous ou créez votre compte (100% gratuit)
MODLITWA
whatsappfacebooktwitter-xemailnative
Michel Martin-Prével, cb - publié le 06/01/22
whatsappfacebooktwitter-xemailnative
A l’aube de cette nouvelle année, le vœu le plus cher de certains baptisés réside peut-être dans la conversion de leur mari ou de leur femme. Cependant, la conversion de l’autre ne commence-t-elle pas par sa propre conversion ? Tout l’enjeu n’est-il pas de devenir plus saint pour que l’autre s’en aperçoive ?

"Seigneur, convertis mon conjoint!" C’est le cri du cœur de beaucoup d’hommes et de femmes qui attendent la solution de leurs différends dans la conversion de l’autre. "S’il se convertissait, sa vie de bon chrétien solutionnerait tous nos problèmes !" Mais ce n’est pas si simple. Tout d'abord parce que celui qui croit pèche malgré tout sept fois par jour, et demeure aussi responsable des disputes et des divergences au sein du couple. De même que l’homme et la femme cumulent de nombreuses différences, traits de caractère et histoires personnelles variées, de même la foi a pris racine très différemment dans le cœur de chaque époux. Alors comment justifier ce désir de "convertir" l’autre? Il paraît légitime de vouloir partager sa foi et de la transmettre à l'aimé(e).

Vous avez aimé cet article et souhaitez en savoir plus ?

Recevez Aleteia chaque jour dans votre boite e−mail, c’est gratuit !

Vous aimez le contenu de Aleteia ?

Aidez-nous à couvrir les frais de production des articles que vous lisez, et soutenez la mission d’Aleteia !

Grâce à la déduction fiscale, vous pouvez soutenir le premier site internet catholique au monde tout en réduisant vos impôts. Profitez-en !

(avec déduction fiscale)
Newsletter
Vous avez aimé cet article et souhaitez en savoir plus ?

Recevez Aleteia chaque jour dans votre boite e−mail, c’est gratuit !