Ce n’est pas un cadeau comme les autres, et assurément il ne se retrouvera pas en vente le 26 décembre sur Leboncoin ! Car si un parrainage va faire la fierté et la joie de celui qui le reçoit, il fera aussi le bonheur d’un enfant d’Asie du Sud Est. L’esprit de Noël, universel et généreux, sera ainsi respecté à la lettre ! Car cet enfant aidé là-bas, c’est comme accueillir le petit enfant né dans une crèche, une nuit de décembre...
Grâce à Enfants du Mékong, parents ou grands-parents, vous pouvez en effet offrir un cadeau solidaire, porteur de sens et de fruits car il fera la joie de deux enfants dans le monde ! Un enfant de Birmanie, du Cambodge, du Laos, de Thaïlande, du Vietnam ou encore des Philippines, qui pourra aller à l’école et se construire un avenir, mais également un enfant français qui va pouvoir s’ouvrir au monde, à la solidarité et prendre conscience de la chance qu’il a d’accéder à une éducation de qualité. Et cette solidarité, vous pouvez l’offrir dans la joie et la chaleur familiale de la nuit de Noël, où Jésus, l’enfant humble et adoré, est fêté dans toutes les maisons.
C’est ainsi qu’après la naissance de son fils Gaspard, Jérémie, un jeune papa, a souhaité donner la chance à un enfant du bout du monde d’être scolarisé. Il a donc offert à son épouse Tiphaine, le parrainage de Gia Ket, 5 ans, qui vient du Vietnam, pays où ils ont fait leur voyage de noce. « Cela faisait déjà quelques années que nous avions arrêté les cadeaux matériels à Noël, souhaitant donner des cadeaux qui ont du sens. Quand Gaspard est né, cela a été comme un déclic, nous avons réalisé que nous avions de la chance d’avoir un enfant en bonne santé, de pouvoir l’éduquer, alors nous avons souhaité partager cela avec un autre enfant».
Grâce aux nouvelles envoyées par l’association, parrain et filleul vont ainsi échanger sur leur mode de vie, leur culture, partager leurs envies et leurs espoirs.
Pour cette autre maman, Aurélie, le parrainage de Quyen est un véritable « projet familial ». Une aventure dans laquelle elle a pris soin d’impliquer sa fille Mila, qui a le même âge que sa filleule vietnamienne. « J’ai à cœur d’inculquer à mes enfants la tolérance, et quoi de mieux pour ça que d'aider concrètement un enfant dans le besoin ? Notre parrainage ne change pas seulement la vie de cette petite fille et sa famille, il change la nôtre aussi. S’offrir un parrainage est le plus beau cadeau qu’on puisse se faire, un cadeau qui nous marquera à vie. » Et la démarche est simple ! En effet, chaque enfant “parrain” reçoit un kit “spécial jeunes parrains” avec une bande-dessiné pédagogique, un magnet à l’effigie de l’enfant parrainé et un cahier pédagogique remplis de conseils pour créer un véritable lien avec les enfants sur place.
Avec le Covid, 150 millions de personnes pauvres à l'extrême
Cette année, ce cadeau tourné vers les autres prendra encore plus de sens après ces mois de pandémie mondiale. Selon une étude de la Banque mondiale, 150 millions de personnes ont été précipitées dans une pauvreté extrême par la Covid-19, et selon le PAM (Programme Alimentaire Mondial), la famine menace 34 millions de personnes, soit une hausse de 35% en un an. Parrainer un enfant et sa famille, c’est permettre de répondre à leurs besoins primaires (nutrition, hygiène...) et à l’enfant de reprendre le chemin de l’école. En Birmanie, près de 200 filleuls sont ainsi en attente de parrainage, Noël arrive, l’idée cadeau est toute trouvée !
Mais au-delà des chiffres et des statistiques, c’est surtout la mise en relation unique entre deux enfants de culture différente que permet Enfants du Mékong, et c’est ce cadeau qui a le plus de valeur. Grâce aux nouvelles envoyées par l’association, parrain et filleul vont ainsi échanger sur leur mode de vie, leur culture, partager leurs envies et leurs espoirs. Au fil du temps, ils pourront suivre leur évolution et même, pour certains, avoir le bonheur un jour de se rencontrer. Voyageur dans l’âme, Jérémie, désormais papa de deux enfants, connaît bien l’Asie pour y avoir vécu quelques années, et il compte bien emmener un jour ses enfants au Vietnam pour rencontrer leur filleul. "Nous attendons qu’ils soient plus grands mais cela fait partie de la démarche".
Le parrainage, une démarche de tendresse
Le cadeau que Jehanne a reçu de sa grand-mère à Noël l’année dernière ? Le parrainage de Love Joy, une étudiante philippine de 18 ans. "Depuis bientôt un an, me voilà l’heureuse marraine de Love Joy, étudiante en informatique. Comme elle est grande, nous pouvons échanger directement en anglais et cela gagne du temps car les lettres n’ont pas besoin d’être traduites. Sa photo trône fièrement sur un mur de ma chambre et quand je la vois, ça me remotive !"
"Pour l’instant, je lui ai envoyé deux lettres et j’ai eu une réponse de sa part au début de l’été dernier. C’est magique d’avoir entre les mains une lettre écrite par quelqu’un à l’autre bout du monde ! On savoure les mots… Je ne sais pas quand j’aurai une nouvelle réponse de sa part mais peu m’importe, je me doute bien qu’elle doit avoir mille choses plus urgentes à faire, et l’essentiel est qu’elle puisse continuer ses études grâce au parrainage".
Des anecdotes, des échanges et des rencontres, voilà ce que vous pouvez offrir à vos enfants ou petits-enfants cette année pour Noël. Dans cette démarche de tendresse et de parrainage, l’esprit de Noël, ce petit Jésus dans une humble crèche, trouve ainsi toute sa symbolique. Et offrir cette richesse spirituelle, humaine et immatérielle, n’est-ce pas plus beau qu’un site marchand et mercantile ? Joyeux Noël à tous !
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