separateurCreated with Sketch.

Des artistes “inclassables” sont à Lyon pour le festival Superspectives

WEB2-SUPERSPECTIVES-William-Sundfor.jpg

Camille Rhonat et François Mardirossian, à l origine de Superspectives.

whatsappfacebooktwitter-xemailnative
Bérengère Dommaigné - publié le 21/06/21
whatsappfacebooktwitter-xemailnative
La vie culturelle reprend à Lyon avec la 3e édition de Superspectives, un festival de musique ouvert à tous dans le cadre exceptionnel de la maison de Lorette qui surplombe la ville. L’occasion de sortir de ces mois de confinements en beauté et en musique.

Jusqu'au 11 juillet prochain, c’est à la Maison de Lorette, à Lyon, que la vie culturelle reprend en beauté. Le festival de musique contemporaine Superspectives, soutenu par les Œuvres pontificales missionnaires, s'y tient depuis le 18 juin. Pour cette troisième édition, c’est dans le cadre patrimonial exceptionnel de cette maison où vécut Pauline Jaricot, que les spectateurs peuvent découvrir deux types de programmation. Côté sud, des concerts payants avec de grands artistes de la scène actuelle. Et côté nord sur la terrasse, une programmation gratuite autour d’un bar éphémère ouvert de 16h à minuit. Partout, l’occasion de rencontrer les compositeurs du moment et d’écouter des musiques variées et inclassables, classiques ou populaires.

Une cinquantaine d’artistes se succèdent durant ce mois de festival, riche en découvertes et en échanges. Difficile de les citer tous, mais parmi les artistes contemporains présents, on retrouve le compositeur Chassol, "ovni musical", qui s’inspire autant de Ravel et Stravinsky que d’Ennio Morricone et de Miles Davis, en passant par le jazz et la soul. Son "show live et vidéo" est annoncé pour le 25 juin. 

Créé et imaginé par deux trentenaires lyonnais et soutenu par les Œuvres pontificales missionnaires (OPM), le projet Superspectives entend renouer le dialogue entre l’art contemporain et l’Église. Dans cette perspective, les sœurs de Saint François d’Assise, une congrégation missionnaire qui vit sur place et anime ce lieu de mémoire, proposeront aux curieux de visiter la maison et de faire découvrir la vie étonnante de Pauline Jaricot, cette femme du XIXe siècle, en passe d’être béatifiée

Que les concerts soient gratuits ou payants, il est vivement conseillé de réserver ses places à l’avance sur le site dédié, afin de respecter les jauges imposées par le contexte sanitaire. Et pour les plus motivés, des bénévoles sont les bienvenus pour prêter main forte, et à coup sûr profiter de ce festival pas comme les autres.

En partenariat avec

Vous avez aimé cet article et souhaitez en savoir plus ?

Recevez Aleteia chaque jour dans votre boite e−mail, c’est gratuit !

Vous aimez le contenu de Aleteia ?

Aidez-nous à couvrir les frais de production des articles que vous lisez, et soutenez la mission d’Aleteia !

Grâce à la déduction fiscale, vous pouvez soutenir le premier site internet catholique au monde tout en réduisant vos impôts. Profitez-en !

(avec déduction fiscale)
Newsletter
Vous avez aimé cet article et souhaitez en savoir plus ?

Recevez Aleteia chaque jour dans votre boite e−mail, c’est gratuit !