Ils s’appellent Alexandre Goodarzy, Antoine Brochon, Julien Dittmar et Tariq Mattoka. Pendant 66 jours, ces trois Français et leur chauffeur de taxi irakien ont été les prisonniers d’un milice chiite irakienne, après avoir subi un violent rapt à bord de leur véhicule, à Mossoul. Libérés à la fin du mois de mars 2020 en pleine crise sanitaire mondiale, ils ont alors découvert les nombreuses chaînes de prières qui s’étaient mises en place pour implorer leur libération.
Dans son ouvrage "Guerrier de la paix", aux éditions du Rocher, Alexandre Goodarzy raconte comment la foi les a aidés à surmonter cette épreuve. "Pendant la détention, nous avions décidé de nous recentrer sur l’essentiel. Nous savions que Dieu traversait cette période à nos côtés", confie-t-il à Aleteia. "Nous remettions également nos geôliers entre les mains de Dieu, pour qu’ils soient éclairés et qu’ils réalisent que nous étions innocents."