Un matin, en ouvrant Aleteia, Antoine Chevillard découvre un article sur les difficultés de la Maison Chéret, spécialiste des ornements liturgiques, à trouver un successeur. Une lecture providentielle qui encouragera le jeune entrepreneur à se lancer et à reprendre l’entreprise.“Maison Chéret, pour l’amour de la liturgie et des métiers d’art”, le titre de l’article paru début avril 2019 dans Aleteia a suscité une vraie émotion chez Antoine Chevillard, jeune entrepreneur en quête d’un beau projet professionnel. Un clin d’œil qu’il attendait : “Les propos de Madame Chéret disant que sa mission risquait de s’achever avec elle ont été comme un signe pour moi”, confie-t-il aujourd’hui à Aleteia.
En effet, le jour même de la publication de l’article, Antoine rencontre Madame Chéret dans sa prestigieuse boutique rue Mayet. Les choses vont alors très vite : la décision mutuelle du rachat de la maison se fait immédiatement. Quelques mois plus tard, en juillet 2020 la succession prend véritablement forme : le jeune entrepreneur reprend le flambeau avec la même ambition : soutenir les créateurs et artistes, être en relation avec eux pour garder cette volonté commune d’être toujours à la pointe de la créativité. Ce qu’est devenu la réputation de la maison. “Mon but est de toujours porter ce mouvement”, souligne-t-il encore ému par ce petit signe encourageant apparu entre les lignes de l’article de Aleteia, ce signe qui a sauvé les ateliers Chéret.
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