Pour la maison Laudate, un bijou n’est pas un simple accessoire. Que ce soit une médaille de baptême, un pendentif ou une bague, un bijou est porteur de sens, de promesse d’avenir et même, grâce à leur offre de seconde main, d’une histoire.« Pour moi, un bijou qui a du sens est un bijou qui raconte une histoire », confie Christian Cantale, de la maison Laudate. « Par exemple, lorsque mon épouse attendra un enfant, je voudrais pouvoir lui trouver un bijou qui raconte à quel point elle m’est précieuse, mais aussi qui parle du don d’elle-même pour cette nouvelle vie, et qui parle de nos espoirs communs. Je voudrais me rappeler tout cela lorsque dans quinze ans, notre enfant fera sa crise d’adolescent. Ou dans 40 ans, lorsque nous relirons notre passé assis devant la cheminée. Je voudrais me le rappeler à chaque regard posé sur le bijou, comme lorsque je regarde sa bague de fiançailles. Et j’aimerais qu’après moi, ce bijou puisse continuer à symboliser la vie et l’amour ». Et pour qu’un bijou continue à symboliser la vie et l’amour, continue en quelque sorte à suivre le sens de la grande histoire de l’humanité, quoi de plus éthique et solidaire que de lui offrir une seconde vie sur une autre personne ?
C’est en ce sens que la maison Laudate, spécialisée dans les médailles de baptême, propose un nouveau service d’achat et de revente de bijoux anciens. Ainsi l’histoire du bijou ne s’arrête pas avec un éventuel sentiment de lassitude envers le bijou ni avec le décès de celui ou celle qui le porte, mais il poursuit sa vie, soit en l’état, soit, s’il ne trouve pas preneur, recyclé, donnant ainsi naissance à un autre bijou.
Au-delà de l’aspect symbolique, c’est un véritable souci écologique qui pousse la maison Laudate à étendre leur offre. Fondre de vieux bijoux ou d’anciennes médailles revient à garantir autant que possible la provenance de l’or, explique Christian Cantale. En effet, l’intérêt des produits certifiés “or recyclé” est d’éviter de vendre des bijoux dont l’or proviendrait de mines dont les conditions d’extraction sont difficilement contrôlables. Dans la lignée de Laudato Si’, le créateur de médailles souhaite apporter sa contribution au respect de “notre maison commune”, en lançant une gamme de bijoux en or recyclé. Un geste éthique en faveur de l’environnement, et non négligeable dans la mesure où l’extraction classique de l’or demeure une activité très polluante. L’or recyclé contient moins de matériaux chimiques, tout en étant garanti 751 millième d’or (contre 750 millième d’or pour une extraction classique). Enfin, autre avantage de l’offre de seconde main : l’accessibilité d’un bijou ancien à un prix très raisonnable.
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