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Voici comment célébrer, à la maison, le 6e dimanche de Pâques, 17 mai 2020

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La rédaction d'Aleteia - publié le 16/05/20
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Pour sanctifier dignement ce 6e dimanche de Pâques, Aleteia, vous propose cette célébration de la Parole de Dieu à la maison.

Avec le concours de la revue Magnificat.

Mode d’emploi :

  • Cette célébration requiert au moins la présence de deux personnes.
  • Si l’on est seul, on peut lire simplement cette célébration, d’un seul cœur et d’un seul esprit avec l’Église. On pourra aussi suivre la messe à la télévision. Aleteia vous propose de suivre en direct celle du pape François, chaque dimanche à 11h.
  • Du samedi soir (vigile du dimanche) au dimanche soir, il est loisible de choisir le moment qui convient le mieux.
  • Cette célébration est particulièrement adaptée dans un cadre familial, amical et de voisinage. Cependant, dans le respect des mesures de confinement, on vérifiera s’il est permis de convier des voisins ou des amis. En tout état de cause, si on le fait, on veillera à respecter strictement les gestes barrière.
  • On place le nombre de chaises nécessaires devant le coin prière, le cas échéant, en respectant la distance d’un mètre entre chacune.
  • On aura eu à cœur de renouveler les ornements du coin prière : images, bougies, fleurs réelles ou en papier, dessins d’enfants, guirlandes, etc.
  • Une simple croix, ou un crucifix, doit toujours figurer en arrière-plan.
  • On désigne la personne qui va conduire la prière.
  • Le Conducteur est aussi celui qui dirige la préparation de la célébration et qui pendant celle-ci, gère la longueur des temps de silence.
  • On désigne des lecteurs pour les lectures.
  • Lors de la préparation de la célébration : on pourra rédiger une formule de prière universelle (à défaut, une formule est proposée ici dans le cours de la célébration) ; on pourra ajouter des chants appropriés.

 

* * *

6e DIMANCHE DE PÂQUES

Célébration de la Parole

 « Celui qui fait sien mes commandements,

c’est celui-là qui m’aime »

 

* * *

 

On est assis.

Celui qui guide la célébration prend la parole :

 

Frères et sœurs, 

dans sa première lettre, 

saint Jean nous demande d’aimer Jésus 

non seulement en esprit et en parole, 

mais encore en acte et en vérité ? 

 

Que veut-il dire par « aimer en acte et en vérité » ? 

Eh bien, cela veut dire aimer Jésus 

comme il se donne à être aimer 

et non comme cela nous plaît de l’aimer. 

 

Précisément, dans l’Evangile d’aujourd’hui, 

Jésus lui-même nous dit le critère 

sur lequel il juge que nous l’aimons vraiment : 

« Celui qui m’aime, dit-il, c’est celui qui garde mes commandements ».

 

De quels commandements s’agit-il ? 

Il y en a un que nous connaissons bien, c’est le commandement nouveau, 

« mon commandement à moi » dit Jésus dans son testament. 

Son commandement à lui, le voici : 

« Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai aimés ».

 

Mais pour que nous puissions prétendre l’aimer sans être des menteurs, 

Jésus nous demande de garder ses commandements, au pluriel… 

Jésus nous aurait-il laisser un autre commandement nouveau ? 

 

Toujours dans sa première lettre, 

saint Jean nous éclaire sur le deuxième commandement de Jésus. 

Un commandement qui, en réalité, est le premier commandement de Jésus. 

Ce premier commandement nouveau, c’est de croire en LUI, 

en tant qu’il est le Fils de Dieu et notre Sauveur.

 

Frères et sœurs, en ces jours où notre amour de Jésus 

est privé de communier à sa présence réelle, 

écoutons-le bien nous dire dans son Évangile,

comment nous pouvons avoir la certitude

de lui prouver notre amour.

 

Pause

On garde une minute de silence.

Puis, celui qui guide la célébration dit la prière suivante :

 

Ô Jésus, Fils de Dieu, notre Sauveur :

voici que, en ce dimanche,

nous sommes empêchés de perpétuer,

par la célébration de l’Eucharistie,

l’offrande que tu fis de ta vie pour tes brebis :

plus que jamais, tu nous demandes de l’actualiser,

en nous aimant les uns les autres

comme tu nous as aimés.

Ainsi soit-il.

 

Après un instant de silence, on se lève.

Tous se signent en disant:

 

℣. Au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit. Amen.

 

Celui qui guide la célébration poursuit:

 

Pour nous préparer à accueillir la parole de Dieu

et pour qu’elle nous guérisse,

nous nous reconnaissons pécheurs.

 

On dit ensuite le rite pénitentiel :

 

℣. Seigneur, accorde-nous ton pardon.

℟. Nous avons péché contre toi.

℣. Montre-nous ta miséricorde.

℟. Et nous serons sauvés.

℣. Que Dieu tout-puissant nous fasse miséricorde ; qu’il nous pardonne nos péchés et nous conduise à la vie éternelle.

℟. Amen.

 

On dit ou on chante :

 

℣. Seigneur, prends pitié.

℟. Seigneur, prends pitié.

℣. Ô Christ, prends pitié

℟. Ô Christ, prends pitié

℣. Seigneur, prends pitié.

℟. Seigneur, prends pitié.

 

On dit ou on chante le Gloria :

 

℟. Gloire à Dieu, au plus haut des cieux,
Et paix sur la terre aux hommes qu’il aime.
Nous te louons, nous te bénissons, nous t’adorons,
Nous te glorifions, nous te rendons grâce,
pour ton immense gloire,
Seigneur Dieu, Roi du ciel, Dieu le Père tout-puissant.
Seigneur, Fils unique, Jésus Christ,
Seigneur Dieu, Agneau de Dieu, le Fils du Père.
Toi qui enlèves le péché du monde,
prends pitié de nous
Toi qui enlèves le péché du monde,
reçois notre prière ;
Toi qui es assis à la droite du Père,
prends pitié de nous.
Car toi seul es saint, Toi seul es Seigneur,
Toi seul es le Très-Haut,
Jésus Christ, avec le Saint-Esprit
Dans la gloire de Dieu le Père.
Amen.

 

℟. Glória in excélsis Deo
et in terra pax homínibus bonae voluntátis.
Laudámus te, benedícimus te,
adoramus te, glorificámus te,
gratias agimus tibi propter magnam glóriam tuam,
Dómine Deus, Rex cæléstis, Deus Pater omnípotens.
Dómine Fili Unigénite, Jesu Christe,
Dómine Deus, Agnus Dei, Fílius Patris,
qui tollis peccáta mundi, miserére nobis;
qui tollis peccáta mundi, suscipe deprecationem nostram.
Qui sedes ad déxteram Patris, miserére nobis.
Quóniam tu solus Sanctus, tu solus Dóminus,
tu solus Altíssimus, Jesu Christe,
cum Sancto + Spíritu : in glória Dei Patris.
Amen.

 

 

PRIÈRE

 

Celui qui guide dit la prière suivante :

 

Père très aimant, 

Accorde-nous, en ces jours de fête, 

de célébrer avec ferveur le Christ ressuscité : 

que le mystère de Pâques dont nous faisons mémoire 

reste présent dans notre vie et la transforme. 

Par Jésus-Christ ton fils notre Seigneur. 

℟. Amen.

 

On s’assied.

 

PREMIÈRE LECTURE

 

Lecture du livre des Actes des Apôtres (8, 5-8.14-17) 

En ces jours-là, Philippe, l’un des Sept, arriva dans une ville de Samarie, et là il proclamait le Christ. Les foules, d’un même cœur, s’attachaient à ce que disait Philippe, car elles entendaient parler des signes qu’il accomplissait, ou même les voyaient. 

Beaucoup de possédés étaient délivrés des esprits impurs, qui sortaient en poussant de grands cris. Beaucoup de paralysés et de boiteux furent guéris. Et il y eut dans cette ville une grande joie. 

Les Apôtres, restés à Jérusalem, apprirent que la Samarie avait accueilli la parole de Dieu. Alors ils y envoyèrent Pierre et Jean. À leur arrivée, ceux-ci prièrent pour ces Samaritains afin qu’ils reçoivent l’Esprit Saint ; en effet, l’Esprit n’était encore descendu sur aucun d’entre eux : ils étaient seulement baptisés au nom du Seigneur Jésus. Alors Pierre et Jean leur imposèrent les mains, et ils reçurent l’Esprit Saint.

 

℣. Parole du Seigneur.

℟. Nous rendons grâce à Dieu.

 

PSAUME

(Ps 65 (66), 1-3a, 4-5, 6-7a, 16.20)

 

℟. Terre entière, acclame Dieu,

chante le Seigneur !

ou

℟. Alléluia !

 

Acclamez Dieu, toute la terre ; 

fêtez la gloire de son nom, 

glorifiez-le en célébrant sa louange. 

Dites à Dieu: « Que tes actions sont redoutables! ℟.

 

« Toute la terre se prosterne devant toi, 

elle chante pour toi, elle chante pour ton nom. » 

Venez et voyez les hauts faits de Dieu, 

ses exploits redoutables pour les fils des hommes. ℟.

 

Il changea la mer en terre ferme : 

ils passèrent le fleuve à pied sec. 

De là, cette joie qu’il nous donne. 

Il règne à jamais par sa puissance. ℟.

 

Venez, écoutez, vous tous qui craignez Dieu: 

je vous dirai ce qu’il a fait pour mon âme. 

Béni soit Dieu qui n’a pas écarté ma prière, 

ni détourné de moi son amour! ℟.

DEUXIÈME LECTURE

 

Lecture de la première lettre de saint Pierre apôtre (3, 15-18)

Bien-aimés, honorez dans vos cœurs la sainteté du Seigneur, le Christ. Soyez prêts à tout moment à présenter une défense devant quiconque vous demande de rendre raison de l’espérance qui est en vous; mais faites-le avec douceur et respect. 

Ayez une conscience droite, afin que vos adversaires soient pris de honte sur le point même où ils disent du mal de vous pour la bonne conduite que vous avez dans le Christ. Car mieux vaudrait souffrir en faisant le bien, si c’était la volonté de Dieu, plutôt qu’en faisant le mal. Car le Christ, lui aussi, a souffert pour les péchés, une seule fois, lui, le juste, pour les injustes, afin de vous introduire devant Dieu ; il a été mis à mort dans la chair; mais vivifié dans l’Esprit. 

 

℣. Parole du Seigneur.

℟. Nous rendons grâce à Dieu.

 

Après un temps de silence, tous se lèvent au moment où l’on dit ou chante l’acclamation de l’Évangile. 

 

ÉVANGILE

 

℟. Alléluia. Alléluia.

. Si quelqu’un m’aime, il gardera ma parole, dit le Seigneur; 

mon Père l’aimera, et nous viendrons vers lui. 

℟. Alléluia. Alléluia.

 

Évangile de Jésus Christ selon saint Jean (14, 15-21)

En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples : « Si vous m’aimez, vous garderez mes commandements. Moi, je prierai le Père, et il vous donnera un autre Défenseur qui sera pour toujours avec vous : l’Esprit de vérité, lui que le monde ne peut recevoir, car il ne le voit pas et ne le connaît pas ; vous, vous le connaissez, car il demeure auprès de vous, et il sera en vous. 

Je ne vous laisserai pas orphelins, je reviens vers vous. D’ici peu de temps, le monde ne me verra plus, mais vous, vous me verrez vivant, et vous vivrez aussi. En ce jour-là, vous reconnaîtrez que je suis en mon Père, que vous êtes en moi, et moi en vous.

 Celui qui reçoit mes commandements et les garde, c’est celui-là qui m’aime ; et celui qui m’aime sera aimé de mon Père ; moi aussi, je l’aimerai, et je me manifesterai à lui. 

 

À la fin de l’Évangile, on chante à nouveau la Résurrection :

 

℟. Alléluia ! Alléluia ! Alléluia !

 

Tous s’assoient.

Celui qui guide redit lentement, comme en écho grave et lointain :

 

« Celui qui fait sien mes commandements,

c’est celui-là qui m’aime »

 

On garde 3 mn de silence pour une méditation personnelle.

 

Puis tous se lèvent et professent la foi de l’Église en disant le symbole des apôtres :

 

Je crois en Dieu, le Père tout puissant,

créateur du ciel et de la terre.

Et en Jésus Christ, son Fils unique, notre Seigneur,

qui a été conçu du Saint-Esprit,

est né de la Vierge Marie,

a souffert sous Ponce Pilate,

a été crucifié, est mort et a été enseveli,

est descendu aux enfers,

le troisième jour est ressuscité des morts,

est monté aux cieux,

est assis à la droite de Dieu le Père tout-puissant,

d’où il viendra juger les vivant et les morts.

Je crois en l’esprit-Saint,

À la sainte Église catholique,

à la communion des saints,

à la rémission des péchés,

à la résurrection de la chair,

à la vie éternelle. Amen.

 

PRIÈRE UNIVERSELLE

 

Tous restent debout et on fait la prière universelle, telle qu’elle a été préparée. Ou bien on prie les Intercessions suivantes, en séparant bien les intentions d’une seconde de silence.

 

Celui qui guide la Prière dit :

 

. Rendons grâce à Dieu qui est Père, Fils et Esprit Saint. 

 

Tous reprennent le refrain :

℟. Béni sois-tu !

 

Pour l’Église qui vit dans la mouvance de l’Esprit Saint, 

qu’elle le transmette par la grâce des sacrements; ℟.

 

Pour les évêques, les prêtres et les diacres, 

qu’ils rendent raison de l’espérance qui les habite ; ℟.

 

Pour les catéchumènes en attente de baptême, 

que leur désir croisse sans cesse d’une vie nouvelle ; ℟.

 

Pour tous les fidèles, 

qu’ils gardent les commandements de leur Sauveur ; ℟.

 

Pour ceux qui entourent les malades, 

qu’ils apportent soins et réconfort avec amour; ℟.

 

Pour le chemin d’éternité ouvert à tous les hommes, 

que ceux qui nous ont quittés le suivent jusqu’à toi. ℟.

 

Les personnes présentes peuvent ajouter, tour à tour, leurs propres intentions. À la fin de chacune d’elles, on reprend tous ensemble le refrain :

 

℟. Dieu vivant, inspire nos prières. 

 

Celui qui guide introduit à la Prière dominicale :

Unis dans l’Esprit et dans la communion de l’Église, nous osons prier comme le Seigneur Jésus lui-même nous l’a enseigné :

 

On dit ou on chante le Notre Père :

℟. Notre Père…

 

Et on enchaîne immédiatement :

℟. Car c’est à toi…

 

Puis celui qui guide invite au partage de la paix :

Nous venons d’unir notre voix à celle du Seigneur Jésus pour prier le Père.

Nous sommes fils dans le Fils.

Dans la charité qui nous unit les uns aux autres, renouvelés par la parole de Dieu, nous pouvons échanger un geste de paix, signe de la communion que nous recevons du Seigneur.

Tous échangent alors une salutation de paix à distance, par exemple en s’inclinant profondément les uns vers les autres, tour à tour ; ou bien, en famille, on s’envoie un baiser avec deux doigts sur les lèvres.

On s’assied.

 

COMMUNION SPIRITUELLE

 

Celui qui guide dit :

 

Quand nous ne pouvons pas recevoir la communion sacramentelle faute de messe, le pape François nous invite instamment à pratiquer la communion spirituelle, appelée aussi “communion de désir”.

Le Concile de Trente nous rappelle que celle-ci “consiste dans un ardent désir de se nourrir du Pain céleste, avec une foi vive qui agit par la charité et qui nous rend participants des fruits et des grâces du Sacrement”.

La valeur de notre communion spirituelle repose donc sur notre foi en la présence du Christ dans l’Eucharistie comme source de vie, d’amour et d’unité, et sur notre désir d’y communier malgré tout.

Dans cet esprit, je vous invite maintenant à incliner votre tête, à fermer les yeux et à vous recueillir.

 

Silence

 

Au plus profond de notre cœur, laissons monter en nous le désir ardent de nous unir à Jésus,

dans la communion sacramentelle,

et de faire vivre ensuite son amour dans nos vies,

en aimant les autres comme il nous a aimés.

 

On reste en silence pendant 5 minutes pour un cœur à cœur avec le Christ Jésus.

Vous trouverez en cliquant ici plusieurs exemples de prières de communion spirituelle.

Voici celle que récite chaque matin le pape François.

« À tes pieds, ô mon Jésus,
je m’incline et je t’offre le repentir de mon cœur contrit qui s’abîme
dans son néant et Ta sainte présence.
Je t’adore dans le Saint Sacrement de ton amour,
désireux de te recevoir dans la pauvre demeure que mon cœur t’offre.
En attente du bonheur de la communion sacramentelle,
je veux te posséder en esprit.
Viens à moi, ô mon Jésus, pour la vie et pour la mort.
Que ton amour enflamme tout mon être, pour la vie et la mort.
Je crois en toi, j’espère en toi, je t’aime. Ainsi soit-il. »

Puis on se lève et on chante à nouveau un bel Alléluia :

 

℟. Alléluia ! Alléluia ! Alléluia !

 

On reste debout, tournés vers la croix du Christ. Les mains jointes, celui qui guide la Prière dit, au nom de tous, la prière de bénédiction :

 

PRIÈRE DE BÉNÉDICTION

 

Par la résurrection de son Fils unique,

Dieu nous a fait la grâce du Salut,

il a fait de nous ses enfants : ensemble,

bénissons-le pour une telle adoption.

℟. Amen

 

En nous recréant ainsi dans son Fils,

Il nous a offert sa propre liberté :

Qu’il nous donne part au bonheur éternel.

℟. Amen

 

Dans le baptême,

nous sommes déjà ressuscités avec le Christ :

vivons dès maintenant

en enfants du Royaume.

℟. Amen

 

Et tous ensemble les mains jointes :

 

℟. Et que la grâce de Dieu descende sur nous

et y demeure à jamais. Amen.

 

Tous se signent. Puis les parents peuvent tracer le signe de la croix sur le front de leurs enfants.

 

Pour conclure la célébration, on peut chanter le Regina Caeli, ou tout autre chant connu à la Vierge Marie à tonalité joyeuse.

 

Regína caéli, lætáre, Allelúia!
Quia quem meruísti portáre, Allelúia!
Resurréxit, sicut dixit, Allelúia!
Ora pro nóbis Déum, Allelúia!

Reine du ciel, réjouis-toi, Alléluia !
car le Seigneur que tu as porté, Alléluia !
est ressuscité comme il l’avait dit, Alléluia !
Reine du ciel, prie Dieu pour nous, Alléluia !

 

* * *

 

Pour continuer de sanctifier chaque jour, il sera bon de renouer avec la vénérable tradition des vêpres familiale en célébrant, vers la fin de l’après-midi, l’office de la Liturgie des heures ; ou bien l’on pourra prendre la Prière du soir de ce jour, que l’on trouvera ici.

Pour continuer de sanctifier la Résurrection du Seigneur, Aleteia vous proposera chaque Dimanche et Fêtes du temps pascal des formules de célébrations à la maison. Ainsi, chez vous, vous pourrez continuer de sanctifier le jour du Seigneur, envers et contre tout, pour la gloire de Dieu et le salut du monde.

Vous pourrez aussi trouver, gratuitement, bien d’autres ressources sur Aleteia et sur le site Magnificat.

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