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Pourquoi le dernier single de Patrick Fiori mérite d’être écouté

Patrick Fiori
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Louise Alméras - publié le 26/02/19
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Dans son dernier album Promesse, le chanteur Patrick Fiori, propose un très beau titre composé par ses soins : “Les gens qu’on aime”.Connu pour son rôle dans la comédie musicale “Notre-Dame de Paris”, qui a participé à faire décoller sa carrière musicale, le chanteur d’origine arménienne a présenté son dixième album en 2017 : Promesse. Cet album est sorti en février dans sa version augmentée, dont le nom reprend le titre d’une chanson phare de ses compositions. Parmi elles, Les gens qu’on aime se distingue par ses paroles dont on doit se souvenir et surtout s’inspirer. Elles sont simples, un peu naïves et pleines de ce bon sentiment qui nous irrite parfois. Pourtant, gageons qu’elles sont essentielles à tous, vitales. Patrick Fiori a également réalisé un clip pour ce titre, publié il y a tout juste trois mois. Et à cette occasion, il a convié deux hommes qu’il admire : le chanteur Jean-Jacques Goldman, qui lui a composé plusieurs chansons, et son ami l’entraîneur de football Arsène Wenger.

 

“J’aurais pu traîner le long de mes rêves
J’aurais pu l’air de rien attendre que la journée s’achève (…)
Ce matin j’irai aux gens que j’aime
Ou juste merci d’être ceux qu’ils sont
Qu’ils changent mes heures amères en poèmes
Et tous ces mots que nous taisons
Ce matin j’irai dire aux gens que j’aime
Ô combien ils comptent pour moi chaque instant
Des mots doux c’est mieux qu’un beau requiem
Et les dire c’est important”

Deux autres chansons de l’album valent le détour, parce que l’ego du chanteur n’est pas là. Et parfois, c’est aussi important que la qualité musicale. Ses mélodies sont simples et même assez touchantes. Dans Ta belle histoire il raconte l’histoire d’une vieille femme d’Arménie en exil, qui “ne laisserait que ses billets d’amour si un jour ça devait arriver la folie, la haine, bêtise inhumaine”. Celle d’Un jour… interroge sur les temps présents et leur signification. Assez lucide, il y chante “c’est à croire que le diable vit sur terre, les mots divisent nos enfants”. Il semble même croire à la vie éternelle quand il déclare qu’ “un jour on s’en ira, quelque part dans le ciel sans doute, quelque part où s’envolent toutes les peines”, puisqu’il est sûr que “les bons dieux, les croyances, remplacent les blouses blanches quand vient le temps du vide, le silence.”

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