Les médias, sous couvert de ré-information, sont devenus champions dans la diffusion de nouvelles négatives. Et pourtant les informations qui réjouissent existent. Loin de cacher les maux qui nous entourent, rapporter une bonne nouvelle permet de méditer sur la France qui tient, qui œuvre et qui monte. Aujourd’hui, l’expérimentation du Pass cultureLe ministère de la Culture a initié, ce 1er février, la phase d’expérimentation du Pass Culture, proposé à 10.000 jeunes de 18 ans des départements de l’Hérault, du Bas-Rhin, du Finistère, de la Guyane et de la Seine-Saint-Denis.
Non, le #passCulture n’est pas un chèque pour s’acheter une console de jeux !
Le #passCulture, c’est :
🎬 du cinéma, des concerts, du théâtre, des musées
🎭 des cours de danse, de chant, de dessin
🎻 des livres, de la musique, des jeux vidéo pédagogiques ou artistiques pic.twitter.com/bzYMz4Bv7K— pass Culture (@pass_Culture) February 2, 2019
Le Pass Culture prendra la forme d’une application disponible sur téléphone, tablette et ordinateur, recensant, à proximité de l’habitat de l’utilisateur, toutes les offres culturelles existantes (visites de monuments historiques, de musées ou de centres d’expositions, représentations théâtrales, projections au cinéma, concerts, récitals, cours de musique, de chant, de théâtre, de dessin ou de danse, adresses de librairies, disquaires, médiathèques, etc.) Seront aussi proposées des offres en ligne dans les mêmes domaines, mais aussi des abonnements à des médias, des achats de musique en ligne, des jeux vidéos, et ainsi de suite. L’application comprendra un moteur de recherche pour permettre aux utilisateurs de s’y retrouver plus aisément.
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Il s’agit ainsi de rendre la culture visible et accessible à tous sur un territoire, tout simplement en révélant aux utilisateurs les possibilités à leur portée et dont ils ignorent souvent l’existence. Si le Pass culture sera accessible à tous, le portefeuille de 500 euros mis à disposition avec l’outil sera, lui, réservé aux jeunes de 18 ans, afin de leur permettre d’accéder concrètement aux offres culturelles.
Dans cette phase d’expérimentation, les 10 000 jeunes inscrits dans le programme sont invités à enrichir la base de l’application et ainsi à la co-construire. Dans les prochains mois, l’application sera généralisée.
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