Des médias, sous couvert de ré-information, sont devenus champions dans la diffusion de nouvelles négatives. Et pourtant les informations qui réjouissent existent. Loin de cacher les maux qui nous entourent, rapporter une bonne nouvelle permet de méditer sur la France qui tient, qui œuvre et qui monte. Aujourd’hui le groupe E.Leclerc qui assure vouloir mieux rémunérer ses producteurs-fournisseurs.La direction du groupe E. Leclerc a annoncé par voie de presse début janvier la signature de plusieurs contrats avec ses partenaires visant à développer la filière biologique et une meilleure rémunération des exploitants agricoles. Ainsi, dès février la marque repère Délisse lancera le lait “Délisse Engagé”, dont le prix devra permettre d’augmenter le revenu des 26.0000 exploitants laitiers rassemblés autour de l’entreprise Orlait. Par ailleurs, plusieurs contrats de filière ont été signés avec des conserveries partenaires, comme Bonduelle, pour promouvoir de “bonnes pratiques agricoles”.
Enfin, E. Leclerc inaugurera en février la marque “Récoltons l’avenir” dont l’objectif est de proposer à sa clientèle des produits issus d’exploitations en conversion vers l’agriculture biologique. Les contrats seront signés pour cinq ans, dont les trois premières années seront celles de la conversion, avant l’obtention de la certification biologique. Le principal partenariat signé concerne la coopérative Les Celliers associés, regroupant plusieurs centaines d’exploitants pomicoles en Bretagne et en Normandie.
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Cette démarche du groupe de grande distribution répond à l’engouement de plus en plus important de sa clientèle pour l’alimentation issue d’une agriculture biologique et durable, au risque parfois de manquer de produits. Il s’agit donc d’assurer l’avenir.