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5 habitudes qui rendent malheureuse

FEMME TRISTE
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Superela - publié le 03/08/17
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Certaines mauvaises habitudes faussent la perception que nous avons de nous-même, et ont un impact sur notre moral. Mais savez-vous identifiez ce qui vous fait douter ?Quelqu’un à un jour dit qu’être heureux est une question de choix. On est tous d’accord, mais il est impossible de nier que, parfois, nous prenons des habitudes qui nous rendent malheureuses, sans même que nous nous en rendions compte. Il ne faut pas s’inquiéter pour autant, nous n’y sommes pour rien. Nous nous “auto-sabotons” parfois, c’est normal.  La peur de ne pas réussir, l’influence extérieure… Nombreuses sont les raisons qui peuvent nous influencer, et pas forcément dans le bon sens . Nous sommes parfois nos propres ennemis, non ? Alors parlons-en !

Voici la liste des habitudes qui nous rendent malheureuses sans que nous le sachions :

1. Se comparer aux autres

La vie n’est pas une compétition. Si l’on se compare aux autres et à leurs réussites, cela ne peut que nous rendre malheureuses. Il est essentiel de comprendre que chaque vie est unique et que nous avons tous des fardeaux à porter. Comme le dit le dicton, « L’herbe est toujours plus verte ailleurs ». C’est exactement le cas. Quand nous nous comparons à notre copine qui vient d’obtenir un bon emploi et pas nous, elle-même est sûrement en train de se comparer à nous.

C’est là que nous rentrons dans une spirale infernale de mal-être, où la personne malheureuse se fixe des objectifs en fonction des réussites de quelqu’un d’autre et non des siennes. Pensons aux choses que nous voulons vraiment au lieu de penser à ce que l’autre a et pas nous. Cherchons à atteindre nos propres objectifs, car la seule personne qui puisse nous rendre heureuse, c’est nous-même.

2. Ne pas se concentrer sur le présent

Lorsque l’on est malheureuse, on a généralement des difficultés à se rendre compte que l’on est la seule à contrôler le présent. Il faut garder à l’esprit que l’on ne peut plus changer le passé et encore moins prévoir le futur. Le problème est que beaucoup de personnes restent prisonnières du passé, et gardent des rancœurs et des peurs qu’elles auraient dû laisser de côté. Cela empêche forcément d’avancer. Ceux qui vivent du passé, ce sont les musées ! Souvenons-nous de cela…

Et concernant la peur de l’avenir, il existe une métaphore qui peut aider : imaginons que notre futur est une cible et que nos actions sont un arc et une flèche. Les gens regardent, nous visons la cible, nous positionnons notre corps, nous respirons profondément et nous lâchons la flèche. À ce moment-là, nous ne pouvons plus changer la trajectoire, et nous ne découvrons que plus tard si la flèche atteint la cible ou non.

De tous les comportements qui rendent une personne malheureuse, le plus préjudiciable est sûrement de ne pas se concentrer sur le présent. Il faut faire le maximum pour que la flèche atteigne la cible, il faut s’efforcer réellement, mais sans jamais s’attacher au passé ! Le bonheur viendra alors.

3. Être individualiste

Ne pas penser aux autres et ne rien vouloir partager avec eux ne peut nous rendre que malheureuses. N’oublions pas le dicton : « Qui bien fera, bien trouvera. » C’est tout à fait cela. Si nous donnons de l’amour, nous en recevrons. Si nous prenons soin de quelqu’un, assurons-nous que cette personne prendra soin de nous après. Si nous aidons, on nous aidera, et ainsi de suite. « C’est en donnant que l’on reçoit. C’est en pardonnant que l’on est pardonné. »

4. Ne pas se faire confiance

Le manque de confiance est une habitude qui rend malheureux très rapidement, car on s’empêche d’agir, de prendre des risques et, pire encore, on doute de soi-même. Or, on ne peut pas tomber plus bas que terre, et c’est en faisant des erreurs que l’on apprend. Il ne faut donc pas avoir peur de l’échec, et penser que ce que nous faisons n’est pas suffisant. Ne nous faisons pas ce mal. Si l’on ne croit pas à notre propre potentiel, qui le fera ?

5. Être pessimiste

Il existe une énorme différence entre nourrir des attentes et être pessimiste. Cette différence nous rend soit heureuse soit malheureuse. Les gens évitent de nourrir des attentes pour ne pas être déçus. Mais cela ne va pas plus loin. Or quand on est pessimiste, on commence un projet en pensant qu’il échouera, mais les choses ne fonctionnent pas de cette manière. On commence en réalité un projet sans ténacité car on a peur que quelque chose tourne mal. Alors ne nous laissons pas envahir par le pessimisme et mettons-nous au travail.

Essayons surtout d’être heureuse !

Tout le monde donne l’impression d’être heureux. Surtout les personnes malheureuses qui ne savent même pas pourquoi elles le sont autant. Il faut donc se rappeler l’importance de l’introspection et apprendre à guérir les blessures qui peuvent nous causer du tort. Alors n’attendons plus !

> Cet article est une traduction du site Superela 

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