Si certains vous sont familiers, il est temps d’y remédier !Nous l’avons tous déjà entendu : « Personne ne dit sur son lit de mort “Si seulement j’avais passé plus de temps au travail…”»
Les regrets portent en vérité plus souvent sur « ce que j’ai fait et ce que j’ai manqué de faire ».
Frère Nelson a fait une liste des types de regrets qu’il a souvent entendus en accompagnant des mourants. Nous avons reçu l’autorisation de publier ici la version française de notre article espagnol.
- Pour les fois où j’ai montré le mauvais exemple et où des personnes l’ont suivi.
- Pour mon indifférence face à la souffrance de mon prochain.
- Pour avoir échoué à dire tant de mots de louange, de reconnaissance et d’encouragement à ceux qui le méritaient ou en avaient besoin.
- Pour avoir revendiqué mes réussites mais accusé les circonstances de mes échecs.
- Pour avoir manqué de respect à l’innocence d’une personne ou bloqué les rêves d’une autre.
- Pour avoir dépensé de l’argent pour des choses dont je n’avais pas besoin et que je n’ai jamais utilisées.
- Pour les fois où j’ai pris trop de temps pour pardonner et n’ai pas fait assez d’efforts pour y parvenir.
- Pour avoir profité de ceux qui m’aimaient pour obtenir quelque chose d’égoïste.
- Pour n’avoir pas bien guidé ceux que j’aurais dû mieux éduquer, avant qu’il ne soit trop tard.
- Pour n’avoir pas rendu visite ou pas passé assez de temps avec mon prochain, parce que je ne le pensais pas assez intéressant, éduqué ou utile.
- Pour avoir fui la croix trop de fois.
- Pour avoir pris plaisir à la flatterie même lorsque j’étais conscient qu’elle était fausse.
- Pour m’être plaint bien plus souvent que je n’ai remercié.
- Pour les mots méchants, vulgaires ou malpolis qui sont sortis de ma bouche.
- Pour avoir pris part à des conversations se moquant de Dieu, la foi ou l’Église.
- Pour avoir gaspillé tant de temps pour des choses futiles… C’est du temps perdu à jamais.
- Pour les promesses que je n’ai pas honorées.
- Pour les fois où j’aurais pu et dû prier plus, et surtout, aimer plus.
- Pour avoir ignoré Jésus.
- Pour avoir blessé mon prochain d’une façon ou d’une autre.
- Pour avoir manqué d’amour. J’aurais dû aimer Dieu et mon prochain beaucoup plus.