Le père Jacques Mourad, libéré le 10 octobre après près de cinq mois de captivité, vient d’écrire une émouvante lettre à l’AED.Le père Jacques Mourad, libéré le 10 octobre après près de cinq mois de captivité, vient d’écrire une émouvante lettre à l’AED dans laquelle il témoigne de sa foi, de sa reconnaissance aux bienfaiteurs de l’AED mais également de son inquiétude pour l’avenir du pays.
Le Père Jacques Mourad, dans sa lettre envoyée au Père Halemba, responsable de la zone du Moyen-Orient à l’AED, témoigne comment sa libération vient de Dieu et de manière indirecte, de l’aide que lui ont apporté les associations dont l’AED. “Il est certain que ma libération est un miracle et j’y crois. Ce miracle ne se limite pas au moment inoubliable où j’ai pu quitter le lieu de ma captivité. Si j’en suis là, si le Bon Dieu a pu le réaliser, c’est grâce à toute une démarche à laquelle ont participé plusieurs partenaires faisant partie de l’Église universelle, à savoir : les bienfaiteurs et les organisations humanitaires dont vous faites partie et notre Église.”
Et d’expliquer plus en détail : “Le travail humanitaire que nous avons pu achever à Karyatene, à Mehine et à Hawarine auparavant grâce à vos aides: restauration des maisons, aides aux familles déplacées, aides aux malades et handicapés, bourses scolaires et universitaires et aides diverses a contribué en quelque sorte au miracle de ma libération et à mon retour à la vie. Grâce aux bons témoignages de personnes qui ont bénéficié de ces gestes de solidarité, les portes de la miséricorde ont été réouvertes et le chemin de la vie et de la liberté s’est présenté devant moi de nouveau”. Lire la suite sur le site de l’Aide à l’Église en détresse