Benoît, chroniqueur sur Cahiers Libres, s’attelle dans un nouveau billet à ce moment que nombre de chrétiens redoutent : la confession… non sans humour !Oui, j’avoue : je me confesse. Et pourtant… Chaque fois c’est la même chose : je décide d’y aller, je me fixe une date. La date arrive, je recule la date ; la date re-arrive, je re-recule la date. Mais malgré ce retard, la patience de Dieu finit toujours par m’avoir et je vais me confesser.
J’ai pourtant dressé une liste convaincante de bonnes raisons pour ne pas me confesser, en voici un extrait :
– C’est humiliant,
– Je n’aime vraiment pas ça,
– Je confesse (presque) toujours les mêmes péchés (sauf parfois quand j’ai le malheur de pécher avec originalité),
– Mieux vaut attendre le semaine prochaine, d’ici là j’aurais le temps de faire un examen de conscience un peu plus sérieux (excuse à réitérer chaque lundi matin),
– Je n’y trouve même pas la petite compensation psychologique dont certains parlent : se sentir léger en sortant du confessionnal.
Et malgré tout cela, je finis toujours par y aller. Lire la suite sur Cahiers Libres