Entre 150 000 et 300 000 personnes ont défilé, selon les organisateurs, photos à l’appui, bien que les médias locaux aient voulu minimiser l’ampleur de la manifestation.
Entre 150 000 et 300 000 personnes ont défilé, selon les organisateurs, photos à l’appui, bien que les médias locaux aient voulu minimiser l’ampleur de la manifestation.
Pour la troisième année, Lima a accueilli, le 22 mars dernier, la grande Marche pour la vie. Cette année, les Péruviens sont entrés dans l’histoire en réalisant probablement la plus grande manifestation pro-vie de l’histoire de l’Amérique latine avec la participation de 150 000 à 300 000 personnes, rapporte Médias-Presse-Info.
Des milliers de personnes, jeunes, adultes, femmes enceintes et enfants, ont marché avec des drapeaux et des t-shirts portant des slogans et des encouragements à célébrer la fête de la vie. Même des personnalités de la politique péruvienne, des musiciens populaires et des personnalités du monde de la culture étaient présents à l’événement. L’archevêque de Lima est monté sur le podium pour parler à la foule immense et a encouragé à respecter la vie : « Le Pérou dit oui à la vie et non à l’avortement » a dit le cardinal Juan Luis Cipriani.
Les groupes pro-vie du Pérou ont pris conscience de la nécessité d’agir et de s’organiser depuis 2009 quand le pays a légalisé la pilule du lendemain, une pilule aux effets abortifs. En 2013, la Marche pour la vie péruvienne avait attiré plus de 100 mille personnes. Cette fois, ses orgarnisateurs espéraient au moins 200 000 personnes, mais la réalité a dépassé de loin leurs attentes.
Les photos aériennes nombreuses que l’on peut voir sur le site Facebook des organisateurs ne sont pas reprises dans la majorité des journaux péruviens, qui ont minimisé la participation et utilisé des photos de petits groupes. Des marches similaires étaient également organisées, à Piura, Trujillo, Iquitos, Huancayo et Arequipa, le 25 mars, jour de l’enfant à naître, fête reconnue par l’état péruvien depuis 2002.
Plus de détails sur le site : ICI
Des milliers de personnes, jeunes, adultes, femmes enceintes et enfants, ont marché avec des drapeaux et des t-shirts portant des slogans et des encouragements à célébrer la fête de la vie. Même des personnalités de la politique péruvienne, des musiciens populaires et des personnalités du monde de la culture étaient présents à l’événement. L’archevêque de Lima est monté sur le podium pour parler à la foule immense et a encouragé à respecter la vie : « Le Pérou dit oui à la vie et non à l’avortement » a dit le cardinal Juan Luis Cipriani.
Les groupes pro-vie du Pérou ont pris conscience de la nécessité d’agir et de s’organiser depuis 2009 quand le pays a légalisé la pilule du lendemain, une pilule aux effets abortifs. En 2013, la Marche pour la vie péruvienne avait attiré plus de 100 mille personnes. Cette fois, ses orgarnisateurs espéraient au moins 200 000 personnes, mais la réalité a dépassé de loin leurs attentes.
Les photos aériennes nombreuses que l’on peut voir sur le site Facebook des organisateurs ne sont pas reprises dans la majorité des journaux péruviens, qui ont minimisé la participation et utilisé des photos de petits groupes. Des marches similaires étaient également organisées, à Piura, Trujillo, Iquitos, Huancayo et Arequipa, le 25 mars, jour de l’enfant à naître, fête reconnue par l’état péruvien depuis 2002.
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