Sur les 1 901 947 signatures collectées, 1 742 156 ont été validées. Un grand succès pour la protection de la vie humaine en Europe.27/02/2014
C’est confirmé : l’initiative européenne « Un de nous », qui milite contre le financement de la recherche impliquant la destruction d’embryons humains, est celle qui a recueilli le plus grand nombre de signatures et de soutiens !
Alors que s’achève la phase de vérification des signatures collectées et leur validation par les autorités nationales de chaque état membre, on apprend que sur 1 901 947 signatures collectées, 1 742 156 ont été validées. 19 pays ont atteint le minimum de signatures requises par la Commission européenne.
Rappelons le procédé de l’« Initiative Citoyenne Européenne » (ICE), instrument de démocratie participative qui permet à des citoyens européens, avec 1 million de signatures provenant d’au moins 7 pays, de mettre une question au programme politique de la Commission européenne.
C’est chose faite, et le grand succès de « Un de nous » montre « qu’un nombre très conséquent de citoyens européens considèrent que la protection de la vie humaine doit être au centre de l’agenda européen », estime l’ICE.
Outre l’arrêt du financement de la recherche impliquant la destruction d’embryons humains, « Un de nous » demande aussi de ne plus attribuer de financement européen à certaines organisations non-gouvernementales qui font la promotion de « la santé génésique et sexuelle » (terme neutre pour désigner notamment l’avortement) dans les pays en développement.
Prochaine étape : Dans les trois mois suivant la présentation, des signatures, la Commission européenne devra recevoir les organisateurs pour examiner leur demande. Ceux-ci pourront également présenter leur initiative lors d’une audition publique organisée au Parlement européen. La Commission européenne devra ensuite donner une réponse officielle : soit elle présentera une proposition législative allant dans le sens de l’Initiative citoyenne, soit elle devra expliquer pourquoi elle ne donne pas suite.
L’Initiative « Un de nous » a été déposée le 11 mai 2012 auprès de la Commission européenne par un groupe de personnalités représentant sept des principaux pays européens : Gregor Puppinck (France), Filippo Vari (Italie), Josephine Qnuintavalle (Royaume-Uni), Edith Frivaldszky (Hongrie), Jabub Batroswicz (Pologne), Alicia Latorre (Espagne), Manfed Liebner (Allemagne).
En France, plusieurs associations ont uni leurs forces pour assurer l’organisation concrète du dispositif : Alliance VITA, la Fondation Lejeune, les Associations Familiales Catholiques et le Comité Protestant évangélique pour la Dignité Humaine.
Alors que s’achève la phase de vérification des signatures collectées et leur validation par les autorités nationales de chaque état membre, on apprend que sur 1 901 947 signatures collectées, 1 742 156 ont été validées. 19 pays ont atteint le minimum de signatures requises par la Commission européenne.
Rappelons le procédé de l’« Initiative Citoyenne Européenne » (ICE), instrument de démocratie participative qui permet à des citoyens européens, avec 1 million de signatures provenant d’au moins 7 pays, de mettre une question au programme politique de la Commission européenne.
C’est chose faite, et le grand succès de « Un de nous » montre « qu’un nombre très conséquent de citoyens européens considèrent que la protection de la vie humaine doit être au centre de l’agenda européen », estime l’ICE.
Outre l’arrêt du financement de la recherche impliquant la destruction d’embryons humains, « Un de nous » demande aussi de ne plus attribuer de financement européen à certaines organisations non-gouvernementales qui font la promotion de « la santé génésique et sexuelle » (terme neutre pour désigner notamment l’avortement) dans les pays en développement.
Prochaine étape : Dans les trois mois suivant la présentation, des signatures, la Commission européenne devra recevoir les organisateurs pour examiner leur demande. Ceux-ci pourront également présenter leur initiative lors d’une audition publique organisée au Parlement européen. La Commission européenne devra ensuite donner une réponse officielle : soit elle présentera une proposition législative allant dans le sens de l’Initiative citoyenne, soit elle devra expliquer pourquoi elle ne donne pas suite.
L’Initiative « Un de nous » a été déposée le 11 mai 2012 auprès de la Commission européenne par un groupe de personnalités représentant sept des principaux pays européens : Gregor Puppinck (France), Filippo Vari (Italie), Josephine Qnuintavalle (Royaume-Uni), Edith Frivaldszky (Hongrie), Jabub Batroswicz (Pologne), Alicia Latorre (Espagne), Manfed Liebner (Allemagne).
En France, plusieurs associations ont uni leurs forces pour assurer l’organisation concrète du dispositif : Alliance VITA, la Fondation Lejeune, les Associations Familiales Catholiques et le Comité Protestant évangélique pour la Dignité Humaine.